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Recherches et études scientifiques

                           

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Paul LABRÈCHE

28 mars 2019, Actualité, Est-ce que ça marche, Médias

                 

               

 

 

 

 

 

   

 

 

 

 

        

Effet placebo. Pas d'études d'efficacité. Que du sucre et de l'eau. Trois faussetés sur l'homéopathie que les grands médias répandent à la vitesse des «fake news». On fait le point!

Depuis Janvier 2019, les offensives médiatiques contre l’homéopathie ne se comptent plus.
 

Dimanche, 24 mars 2019, le Pharmachien est revenu sur la question à l’émission Tout le monde en parle. Comme tous les autres avant lui, les messages sont à peu près toujours les mêmes: l’effet est placebo, il n’y a pas d’études qui prouvent son efficacité, ce n’est que du sucre et de l’eau.
 

On reprend ça, un à un.  Court dialogue avec la désinformation…


 

«L’EFFET EST PLACEBO.»  Faux.


Des plantes, des troupeaux d’animaux, des cellules en culture réagissent à l’homéopathie. Hé oui! Les recherches le démontrent, l’une après l’autre – globules blancs avec Arnica [1], basophiles (ce sont les cellules impliquées dans les allergies) avec Histaminum [2], porcelets [3],  tétards [4]…


Effet placebo sur des haricots [5], vous y croyez vous?


Et des petits cochons naissants, traités par homéopathie, qui ont 6x moins de diarrhées que les petits cochons sur placebo? En fait, soyons précis. Ce ne sont pas les porcelets mais les truies pendant la gestation qui ont reçu soit le remède soit le placebo. Donc, c’est les mamans truies qui auraient eu un effet placebo qu’elles auraient transmis à leurs petits cochons? [6]


«Oui mais les études sont pas refaites.» Faux.

Entre 1994 et 2015 on a refait 28 études originales sur les plantes, les animaux et in vitro. [7] Combien de fois? 98 fois pas moins.  Et avec des résultats positifs dans 70% des répliques! L’expérience sur la réaction allergique des cellules basophiles a été refaite 17 fois à elle seule et elle a donné les mêmes résultats 13 fois.


Revenons aux humains. L’effet placebo, il existe, on s’entend là-dessus, mais ça se prolonge pas indéfiniment. Comment on expliquerait alors un effet qui dure? Et qui dure au point où il arrive qu’on n’ait plus besoin de rien prendre?


«Oui mais un rhume, ça part tout seul.» On parle pas d’un rhume là. On parle de problèmes chroniques.  Avec dix ans de souffrances en moyenne [8], quand on se décide à aller consulter un homéopathe parce qu’on a tout essayé.  On parle d’allergie, d’asthme, de fibromyalgie, de dépression, la liste est longue.


On parle même de situations de vie en danger avec des médecins qui ont traité des patients dans les urgences, [9]ou aux soins intensifs parfois intubés [10], parfois avec septicémie [11]. Qui refuserait un traitement homéopathique ajouté au traitement conventionnel, dans un cas d’empoisonnement du sang, quand une recherche a démontré qu’après 180 jours, la chance de survie est passée de 50% avec un placebo à 75% avec le remède homéopathique? Qui ne saisirait pas cette opportunité sous prétexte que «ça se peut pas que ça marche»?


Et c’est pas tout. Si on prétend expliquer les améliorations par l’effet placebo seulement, alors il faut aussi expliquer pourquoi dans certains cas, le malade empire après la prise du remède.  Puis qu’il s’améliore, et rapidement. Ou pourquoi, celui qui ne faisait plus de migraines depuis 10 ans, et qui vient consulter pour ses crises de panique, au premier remède, paf, migraine carabinée comme dans l’temps! Ça non plus, c’est pas dans le pedigree de l’effet placebo.



«PAS D’ÉTUDES POSITIVES.» Faux.


«Mais le rapport australien, en 2015, est-ce qu’il a pas dit que c’était pas efficace pour aucun problème de santé?»  Oui il a dit ça.  Et après l’avoir dit, il s’est fait prendre «la main dans le sac».  On s’explique.
Ce rapport est maintenant sous enquête. Par qui?  L’Ombudsman du Commonwealth.  Pourquoi? Parce que l’agence australienne, le NHMRC (National Health and Medical Research Council)  a fait un rapport no. 1, il était bon, les conclusions étaient positives. Elle l’a mis sur les tablettes, a tenu ça mort, et a recommencé l’exercice.  Ce premier rapport qu’elle a caché, a été découvert grâce à la loi de l’accès à l’information.

 

Le 2e rapport, il a été arrangé avec le «gars des vues». Un seul exemple. On a écarté les études avec moins de 150 personnes.  Comme ça, sans aucun raisonnement scientifique. Ça n’avait jamais été fait avant par personne. Et ce n’est qu’un exemple, parmi plusieurs autres. Pressée par des questions du Sénat, au printemps dernier, l’agence a été obligée d’avouer avoir «customisé» la méthode d’analyse.


Une pétition est toujours en ligne pour forcer le gouvernement australien à dévoiler ce qu’ils refusent toujours de dévoiler.  Les contribuables australiens ont payé, sans le savoir, pour deux rapports, ils ont donc le droit d’en connaître le contenu. [12] [13] [14]


«Mais il n’y a pas d’autres bons rapports de toute façon.»  Faux. Le rapport Suisse en 2011 conclut: l’homéopathie ça marche si c’est bien pratiqué. [15] Et le gouvernement Suisse a dit par après: OK, on intègre ça au système de santé.


«Si c’est le seul rapport, c’est peu.»  C’est pas le seul.  La méta-analyse (exercice statistique d’un ensemble de recherches) de Mathie, 2014, qui a pris seulement les études cotées comme «les meilleures» et qui a trouvé que mieux l’étude est faite, selon les standards actuel de la «science» plus ça marche. [16] Aussi, la méta-analyse de Robert G. Hahn (2013), un scientifique qui n’en a rien à cirer de l’homéopathie (c’est lui qui le dit) et qui est arrivé à la conclusion que pour prouver que ça marche pas, il faudrait mettre aux poubelles plus de 90% des études. [17] Pas moins!


 
«QUE DU SUCRE ET DE L’EAU.»  Faux.


La technologie moderne met à terre complètement cette autre fausseté. Une haute dilution homéopathique est bien davantage que du sucre et de l’eau. Résonnance magnétique nucléaire [18], spectroscopie Raman [19], encres solvatochromiques [20]s’entendent toutes là-dessus. Trois technologies différentes et modernes qui arrivent aux même conclusions : de l’eau pure, et de l’eau qui contient un remède homéopathique, même dilué plusieurs fois, ne sont pas identiques.

 

Conclusion


L’homéopathie, ça marche. Point à la ligne.


Y’a surtout pas juste les études et les rapports.  Y’a 200 ans d’histoire, 200 ans de succès. Avec les mêmes remèdes. Quel médicament jouit d’une telle longévité?


L’homéopathie, ça marche. C’est 200 millions de personnes, sur la planète, jour après jour, qui vous diront la même chose. Ce sont des associations d’utilisatrices et utilisateurs un peu partout : France, États-Unis, Royaume Uni et tout récemment, le Canada. C’est un institut entièrement consacré à la recherche depuis 10 ans.


C’est 400 000 professionnels de la santé, médecins et non-médecins à travers le monde qui voient les résultats quotidiennement.


C’est 4000 médecins en France qui en ont fait une spécialité, 20 000 qui la prescrivent régulièrement ainsi que 78% des sages-femmes. [21]


C’est également 20 000 médecins en Italie qui la recommandent à leurs patients.


Les statistiques de l’OMS démontrent que c’est la 2e approche non conventionnelle la plus utilisée à travers le monde et la première dans les pays développés.[22] Elle est enseignée dans les universités de l’Australie, la France, la Norvège, le Brésil, l’Argentine, l’Inde, l’Afrique du Sud, le Mexique, le Portugal et Cuba. Elle est soit présente, soit reconnue juridiquement, soit intégrée au système de santé dans 45 pays. [23]
 

Enfin, pensons-y un instant. Quel professionnel de l’homéopathie réussirait à gagner sa vie, quel médecin arriverait  à soutenir sa pratique médicale avec un effet placebo qui soulagerait que 3-4 patients sur 10?  Qui aurait envie de faire un travail où il manque son coup deux fois sur trois?


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[1]Marzotto M, Bonafini C, Olioso D, Baruzzi A, Bettinetti L, Di Leva F, et al. (2016) «Arnica montana Stimulates Extracellular Matrix Gene Expression in a Macrophage Cell LineDifferentiated to Wound-Healing Phenotype» PLoS ONE 11(11): e0166340. doi:10.1371/journal.pone.0166340
[2]Sainte-Laudy J, Belon P. (1991), «Biological activity of ultra low doses. II. Result of ultra low doses of histamine on human basophil degranulation triggered by anti-IgE», Doutremepuich C (ed). Ultra Low Doses. London, Washington: Taylor & Francis, 1991, pp139e144.
[3]Camerlink et al (2009), «Homeopathy as replacement to antibiotics in the case of Escherichia Coli diarrhea in neonatalpiglets», Homeopathy 2010; 99, 57–62
[4]Endler PC et al (1991),  «Results of highly diluted succussed thyroxin on metamorphosis of highland frogs»,  Berl J ResHom 1991; 1: 151e160.
[5]Lensi et al (2010), «A pilot study of the influence of Natrum muriaticum 6cH and 30cH in a standardized culture of Phaseolus vulgaris L.», Int J High Dilution Res 2010; 9(30): 43-50
[6]Camerlink et al(2009); op. cit.
[7]Endler PC et al. (2015), «Replications of fundamental research models in ultra high dilutions 1994 and 2015 – update on a bibliometrics study», Homeopathy, 2015 Oct;104(4):234-45.
[8]Fournier D. et Taillefer A. (2003). Témoignages des homéopathes et de leur clientèle sur une évaluation qualitative du traitement médical officiel et homéopathique, Montréal, Syndicat Professionnel des homéopathes du Québec, 76 p.
[9]Oberbaum et al (2005), «Homeopathy in Emergency Medicine», Wiener Medizinische Wochenschrift 155(21-22):491-7
[10]Frass M et al.(2005), «Influence of potassium dichromate on tracheal secretions in critically ill patients», Chest 2005 Mar;127(3):936-41.
[11]Frass M. et al (2005), «Adjunctive homeopathic treatment in patients with severe sepsis: a randomized, double-blind, placebo-controlled trial in an intensive care unit», Homeopathy 2005 Apr;94(2):75-80.
[12]https://www.hri-research.org/resources/homeopathy-the-debate/the-australian-report-on-homeopathy/
[13]https://www.yourhealthyourchoice.com.au/news-features/information-reel-why-there-is-a-senate-petition-and-ombudsman-complaint/
[14]https://www.yourhealthyourchoice.com.au/news-features/science-fact-or-fiction-nhmrc-admits-they-did-not-use-accepted-scientific-methods-2/
[15]Borhöft, G. et P. Matthiessen (eds) (2011). Homeopathy in healthcare – effectiveness, appropriateness, safety, costs, Berlin, Springer-Verlag, 234 p.
[16]Mathie RT (2014), «Randomised placebo-controlled trials of individualised homeopathic treatment: systematic review and meta-analysis», Syst Rev. 2014 Dec 6;3:142. doi: 10.1186/2046-4053-3-142.
[17]Hahn RG (2013), «Homeopathy: meta-analyses of pooled clinical data», Forsch Komplementmed 2013;20(5):376-81.
[18]Van Wassenhoven M, et al., «Nuclear Magnetic Resonance characterization of traditional homeopathically-manufactured copper (Cuprum Metallicum) and a plant (Gelsemium Sempervirens) medecines and controls», Homeopathy (2017), http://dx.doi.org/10.1016/j.homp.2018.08.001
[19]SarkarT et al (2015), «Vibrational and Raman spectroscopy provide further evidence of free OH groups and hydrogen bond strength underlying difference in two more drugs at ultrahigh dilutions», Int J High Dilution Res. 2015;15(3): 2-10
[20]Cartwright SJ. (2016) «Solvatochromic dyes detect the presence of homeopathic potencies», Homeopathy 2016; 105: 55-65
[21]Boiron (2018), L’homéopathie en France – faits et chiffres
[22]http://apps.who.int/iris/bitstream/10665/43108/1/9241562862_map.pdf?ua=1
[23]Taillefer, A (2018), Étude comparative sur l’utilisation et l’attitude du public face aux MAC : l’homéopathie — Une enquête comparative — Source:  Complementary and Alternative Medicine: Uses and Public Attitudes, 1997, 2006, 2016 – Nadeem Esmail (2017) Fraser Institute.  Présentation faite en novembre 2018, Syndicat professionnel des homéopathes du Québec

 

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                         Le saviez-vous ?

                         Il y a déjà eu un hôpital homéopathique à Montréal.

 

                         En effet, le 2 juin 1894 eut lieu l'ouverture de cet

                         établissement hospitalier qui deviendra l’Hôpital                                  Reine Élizabeth. Il fermera ses portes en 1996.

 

 

 

 

 

Référence:

GOULET, Denis; PARADIS, André. Trois siècles d'histoire médicale au Québec. Chronologie des              institutions et des pratiques (1639-1939). Montréal, VLB, 1992. 530 p.

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 Animée par Dr Christiane Laberge et présidée par M. Thomas Mulcair,

une table ronde médiatique sur l'homéopathie s'est tenue à Montréal

en novembre 2019. (1heure 47 minutes)

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22/01/2020 - Par SafeMed - Médecines intégratives

CHU de Grenoble :

l’homéopathie a fait ses preuves pendant plus de 20 ans

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans un billet publié sur Mediapart, le Dr Jacques Jobert, ancien chef de clinique et ancien président de l’école d’homéopathie Dauphiné-Savoie, revient sur l’apport de l’homéopathie au CHU de Grenoble, où il était chef de service de chirurgie pédiatrique pendant plusieurs années.

Selon le Dr Jacques Jobert, dans les années 1980, alors qu’il exerçait en tant que chef de clinique assistant de pédiatrie puis attaché en néonatologie, il a constaté l’importance de l’homéopathie pendant la grossesse et la petite enfance. Dans le service de chirurgie infantile du CHU de Grenoble, avec le Dr Alibeu, il avait établi un protocole de soins diffusé sur le réseau Intranet de l’hôpital. Les résultats étaient particulièrement intéressants. Les remèdes homéopathiques faisaient leurs effets sur les troubles du sommeil chez l’enfant.

 

Il existait une collaboration étroite entre médecine allopathique et homéopathie 

Par ailleurs, l’homéopathie était utilisée dans le service pour traiter et prévenir en péri-opératoire les douleurs, nausées et vomissements, troubles du transit, peurs, anxiété, agitation, œdème, hématomes. « Avec le docteur Jobert, nous avons publié dans la revue Pédiatrie en 1990 un article intitulé : Aconit en dilution homéopathique et agitation post-opératoire de l’enfant », témoigne le docteur Alibeu, ancien anesthésiste-réanimateur de chirurgie infantile puis chef du Centre d’évaluation et de traitement de la douleur du CHU de Grenoble.

De plus, « Cet article rendait compte d’une étude contrôlée randomisée en double aveugle contre placébo réalisée dans le service de chirurgie pédiatrique auprès de 50 enfants. Elle a montré que le médicament Aconit en dilution homéopathique (4CH) était efficace sur l’agitation postopératoire de manière très significative (95% de bons résultats avec Aconit contre 30% avec le placébo) », note pour sa part le Dr Jacques Jobert. Ce qui montre l’existence d’études contrôlées convaincantes en faveur de l’efficacité de l’homéopathie.

Cette scientificité de l’homéopathie a permis une étroite collaboration entre médecine allopathique et homéopathie au sein des centres de santé, dans les années 80 et 90. Malheureusement aujourd’hui, la polémique a eu raison de cette complémentarité.

 

Les recherches en nanotechnologies vont dans le sens de l’homéopathie 

Selon Jean Calop, professeur émérite à l’Université Grenoble-Alpes et membre de l’Académie nationale de pharmacie, les opposants de l’homéopathie refusent de voir la vérité en face, que l’homéopathie fonctionne bel et bien. Mais, selon lui, la vérité finira forcément par éclater et ce moment n’est plus bien loin.

« Les nanotechnologies sont actuellement en pointe et les progrès sur l’infiniment petit sont loin d’être terminés. Nous n’avons pas encore le niveau de preuve pour démontrer la présence de nano molécules au niveau de certains récepteurs mais c’est une réflexion réductrice. Les recherches actuelles sur les médicaments innovants conduisent non plus à des produits chimiques mais bien à comprendre le langage cellulaire à partir de messages biochimiques ; ces médicaments innovants sont tous cette année issus des biotechnologies. Pas un seul sélectionné n’est d’origine chimique », a-t-il déclaré tout en soutenant une collaboration apaisée entre les deux médecines.

 

Un homéopathe est d’abord un médecin 

Aussi, pour ceux qui traitent les homéopathes de charlatans, il faut rappeler qu’un médecin homéopathe est titulaire d’une thèse de médecine obtenue après le cursus habituel des études de médecine. Pour apprendre l’homéopathie, il s’est adressé à une école d’homéopathie gérée par des homéopathes. Cette école respecte un programme défini par le Ministère de la santé. En outre, le médecin homéopathe a appris à interroger, il a été mis en situation pour interroger et examiner, « prendre le cas », établir une observation complète, modèle du genre.

Bien plus encore, après une double formation classique et homéopathie, le praticien a le choix entre deux techniques, la médecine classique et l’homéopathie. Dans la plupart des cas, avec l’expérience acquise au cours des ans, l’homéopathie prend de plus en plus d’importance dans sa pratique pour la pathologie courante, les maladies aiguës bénignes, les troubles fonctionnels, les traumatismes sportifs et la pathologie psychosomatique.

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Veaux, vaches, cochons, couvées :

plus d’homéo, moins d’antibios

 

 

 

 

 

 

 

 

 

C'est officiel. L'OMS a demandé la réduction des antibiotiques pour l'élevage et la production laitière. Santé Canada ouvre maintenant la porte pour reconnaître d'autres approches en matière de santé animale. Un savoir-faire homéopathique québécois, spécialisé en la matière, sort de l'ombre... 

 

 

Récemment, l’OMS a sonné l’alarme… et Santé Canada – section Produits vétérinaires – a entendu.

 

La raison?

Alors que la résistance aux antibiotiques est devenue un problème de santé mondial,

alors qu’il y a eu 500 000 décès liés à cette résistance en 2017,

alors que 80% des antibiotiques, au Canada par exemple, sont utilisés uniquement pour accélérer la croissance des animaux destinés à la consommation,

l’OMS a demandé que les antibiotiques NE SOIENT PLUS UTILISÉS comme facteurs de croissance.

 

Les éleveurs et producteurs laitiers n’auront plus de choix que de se tourner vers d’autres moyens, déjà éprouvés par ailleurs. Santé Canada – section Produits vétérinaires – ouvre la porte maintenant à ces autres manières de faire.

 

Des éleveurs et producteurs utilisent déjà l’homéopathie depuis plusieurs années.
D’autres emboitent le pas pendant qu’un savoir-faire homéopathique québécois, fort d’une expérience de 28 années dans le maintien et le soutien de la santé des troupeaux, sort maintenant de l’ombre…

Labo Solidago sort de l'ombre.

Calf l'alimentation des enfants
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